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Galerie Maubert

  — Nicolas Daubanes — Sara Favriau  —



Florent Maubert et Charles Rischard ont créé la Galerie Maubert  en 2010. Avec une formation académique autour des arts visuels  et de la danse contemporaine, ils mènent un travail de prospection orienté vers la création contemporaine. Ces artistes, émergents ou déjà reconnus par le monde de l’art, questionnent avant  tout des thèmes qui jalonnent l’histoire de l’art et deviennent les  fondements de nos sociétés contemporaines. Ces artistes sont  accompagnés intellectuellement, financièrement et surtout humainement au plus proche par l’équipe de la galerie. 

La galerie Maubert mène un travail de prospection orienté vers la jeune création contemporaine. Ces jeunes artistes, découverts en premier lieu par la galerie, questionnent avant tout des thèmes qui jalonnent l’histoire de l’art et deviennent les fondements de nos sociétés contemporaines : la perception, l’étude des formes, le geste, l’usage, le mouvement, la trace...

La galerie représente également des artistes déjà reconnus par le monde de l’art (José Loureiro, Nathalie Elemento...) et historiques (Larry Bell, Joachim Bandau, Lucien Hervé...) dont elle soutient le processus de reconnaissance aussi bien dans la sphère économique que critique et historique.

Pour l’édition 2021 de Paréidolie, consacrée à la scène artistique française, la Galerie Maubert a choisi de présenter des œuvres réalisées pendant le confinement par deux artistes, Sara Favriau et Nicolas Daubanes.

Sara Favriau (b. 1983) présentera un ensemble de dessins réalisés dans le cadre de son projet de “navigation” entre la Villa Noailles et la Fondation Carmignac. Ce projet, en collaboration avec les deux institutions, se compose d’un ensemble de sculptures de bois taillé qui seront utilisées pour réaliser une traversée performative de la mer séparant ces deux lieux.

Nicolas Daubanes (b. 1983), a également travaillé sur le thème de la navigation pendant le confinement en produisant un ensemble de dessins de bateaux prison. Ces navires, démunis de moyen de navigation, ont été, au cours de l’histoire, transformés en ponton (prison flottante). En superposant devant des dessins de bateaux condamnés, réalisés à la limaille de fer aimantée, une vitre sur laquelle des incrustations d’acier incandescent suggèrent des vagues et le camouflage, Nicolas Daubanes semble remettre ces navires à flot.



Nicolas Daubanes



Sara Favriau



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