Victoire Barbot

 

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Depuis ses études aux Beaux Arts de Paris, Victoire Barbot continue ses recherches sur différents états possibles d’une même sculpture. Elle construit des agencements qu’elle nomme “Misensemble” en élaborant des équilibres précaires avec des matériaux collectés qu’elle emboite, déploie et range dans l’espace. Puis elle les archive par le dessin et finit par les classer de nouveau en dessinant ses sculptures sous une forme rangée qu’elle renomme “Misenboite”.
VB se nourrit de collections et classifications d’objets, matériaux, couleurs, surfaces, mots et histoires qu’elle entreprend à la rencontre des habitants et artisans des lieux où elle travaille en interrogeant les notions d’espace, de sculpture et de peinture.

Plus récemment, des recherches en bas-relief la conduisent à interroger le cinéma qu’elle poursuit encore à la rencontre du papier et du son.
Depuis 2014, Victoire Barbot a participé à de nombreuses expositions en France et à l’international, et tout particulièrement au Mexique où elle entreprend de nombreuses actions en espace public.
Parmi ses expositions : “Raw Material” à la Galerie Eva Meyer, “Scabellon” à la Galerie Double V (Marseille) en 2017; “Mas opacidad“ au Muca Roma (Mexico), Solo Show “el quitasol” à Carta Blanca (Mexico) en 2018 ; “Ebullicion” au Kunstraum am Schauplatz (Vienne) en 2019; Jeune Création en 2020, « Sur Pierres Brûlantes » à la Friche Belle de Mai...
Née en 1988 à Dreux. Elle vit et travaille entre sa ville natale, Marseille et Mexico.

Atelier :
Buropolis, 343 boulevard Romain Rolland, 13009 Marseille

︎ www.instagram.com/victoirebarbot

American Gallery :
Lucian Moriyama

 

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The American Gallery a ouvert ses portes en 2010.

Espace intime ancré dans un lumineux jardin comme un balcon sur la mer, la galerie a pour vocation d’exposer les avant-gardes dans le champ de l’art contemporain tout en permettant la rencontre entre les artistes et les publics tant marseillais que anglophones. La galerie accueille régulièrement des expositions, installations,  lectures, performances, concerts et conférences et reçoit également des artistes en résidence.  Pour Paréidolie, l’American Gallery présente le travail de Lucian Moriyama.

Lucian Moriyama (né à Honolulu en 1991) est artiste et écrivain. Il a étudié à l’Université de Glasgow et aux Beaux-Arts de Marseille, où il était lauréat du Prix François Bret.

Lucian Moriyama présentera une série d'œuvres en trompe-l'œil qui interrogent l'histoire de l'art et les traditions du modernisme. Aux côtés de ses œuvres en scagliola, une technique à base de plâtre qui imite le marbre, il exposera ses monotypes, réalisés en dessinant sur une plaque de gélatine servant ensuite de bloc d'impression. Le monotype est pour lui une manière de mettre entre guillemets la peinture, la gravure et le dessin. Chaque image est une reproduction, mais une reproduction unique, nous invitant à chercher l'original perdu. Chaque trait est aussi un effacement.

Lucian Moriyama (born Honolulu, 1991) is an artist and writer. He studied at the University of Glasgow and the Beaux-Arts de Marseille, where he received the Prix François Bret. He has presented his sculptures at Manifesta 13 (2020) and the Printemps de l’Art Contemporain (2019), and has presented his artist books at Tramway, Glasgow (2018) and at the Mucem, Marseille (2020). He is an upcoming resident at the Villa Empain, Brussels (2021) and will present his work at Art-O-Rama, Marseille (2021).


︎ www.lucianmy.com
︎ www.instagram.com/lucian.my

Jan-Philipp Fruehsorge
The Drawing Hub

 

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Pour Paréidolie 2021, Jan-Philipp Fruehsorge, qui dirige la plate-forme nomade internationale de recherche en dessin contemporain The Drawing Hub, propose une sélection de dessins vidéographiques intitulé Vertigo of Time

“Under the title Vertigo of time, this selection of animation films assembles artists from New Zealand, the US, Europe, Japan and Africa. The15 works set a time frame from as early as 1914 until very recent ones that have been produced in the lockdown months of the Covid-19 pandemic. We watch and witness the relativity of time, the idiosyncrasies of duration and expectation, projection and memory.  We travel and dream into the shadows of the past of German expressionism, encounter narratives and topographies of half forgotten childhood sceneries. Humorous prehistoric events come to live, literally like the line that is drawn to set a dinosaur into motion. Equally alive and alluring is the imaginative power of non-objective drawing that is in the making.Time marks the exploitative routines of labour as well as it magically heals and transforms the restless individuum to find dignifying self fulfillment posing nude in front of a live drawing class.” J-P Fruehsorge.

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Frac : Olivier Nattes,
Être monde

 

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